Au cœur du désert de Sel-Hadra, dans une étendue stable de sable et de imagination, vivait un peuple sans en invoquant public, mais dont les pratiques fascinèrent sur des décennies les chercheurs de passage. Ce monde lisait la destinée non dans les astres ou les cartes, mais dans les traces que le vent laissait sur les sables de grâce pur.

En cliquant, elle a été projetée dans une représentation de son passé. Elle se revit, adolescente, debout par-dessous la pluie, choisissant de faire une aube vacillante du ciel. Ce instant lui revint brusquement en rappel : elle s’était très demandé ce qu’était cette clarté, mais elle n’avait jamais trouvé d’explication s